Piriápolis

Et me voilà plus proche de 20 milles de Buenos Aires ! Le bateau est amarré quasi sous le départ d’un télésiège qui sert à acheminer les touristes au sommet de la colline ! Ca me rappelle sans me manquer les cours de ski.

Demain je suis « convoqué » en entretien à la Prefectura pour me justifier de 3 effractions : la première m’être dérouté sans autorisation, la deuxième ne pas avoir prévenu de mon arrivée en entrée de port (le fameux Piriápolis control) et enfin ne pas avoir ma radio allumée en permanence, en cumulé je risque 42.000 pesos uruguayens d’amende soit tout de même 1.343 euros ! A priori ils sont cléments la première fois mais je dois rédiger une explication pour mon entrevue avec le chef demain matin.

Il faut savoir que le port de Piriápolis est actuellement fermé pour travaux, les autorités de Punta del Este me l’avaient bien dit et je le savais depuis La Paloma. Dans chaque port la Prefectura gère les flux de bateaux, le port de destination est demandé ainsi que l’ETA et il faut si tenir à moins de pouvoir notifier par radio un éventuel changement. En quittant Punta del Este j’avais donc indiqué Montevideo, la capitale, comme prochain port, mais je tenais à cette escale à Piriápolis et Pierrot de Gwada qui y avait caréné m’affirmait qu’il y avait de la place, de plus je ne voulais pas arriver de nuit à Montevideo et le vent allait fraîchir, alors j’ai tenté le coup pour des raisons de sécurité et on ne rigole pas avec ça n’est ce pas ? Ce sera la base de mon argumentaire et je vais vous laisser pour m’y coller sans attendre car il est déjà 19 heures, je reçois internet au bateau, Google Traduction va pouvoir m’épauler…

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